Les Suisses sont avertis !
13.06.2025 La montagne est tombée à Blatten ! Le glacier du Birch était un cas unique en Suisse et en Europe. Ce sont ses fondements(la partie invisible où la glace s’appuie sur la roche) qui ont été liquéfiés par la pression et par les éboulis jusqu’à devenir une sorte de toboggan. La suite, on la connaît.
Chacun, croyant ou non, trouvera dans cet effondrement annoncé et ses détails un enseignement, un avertissement, une parabole. Car à Blatten comme ailleurs, c’est la suite, c’est la question « et après ? » qui donne à méditer. Et à redouter.
Nous sommes à l’abri, non ?
Que va changer l’effondrement de cette montagne à la marche de notre société ? Passée l’émotion partagée dans tout le pays, les « We are Blatten », les dons à la Chaîne du Bonheur et autres appels à contrer le réchauffement climatique et à aller décrocher la lune ? D’ici peu, Blatten sera oublié parce qu’une nouvelle en chasse l’autre. Nous espérons un réveil des consciences, mais nous sommes aussi réalistes par rapport aux mentalités contemporaines.
Le plus grand danger pour les Suisses est peut-être de croire que rien n'arrivera jamais chez nous ; en ce sens, l’effondrement de la montagne peut aussi être vu comme une chance. Car il n’y a rien de pire que le malheur qui vous tombe dessus sans prévenir ! Ce qui était jugé inébranlable, immuable ne l’est pas. Ou plus. Et les Suisses ont toujours su faire preuve de solidarité dans les moments critiques.
L'Histoire nous rattrape, les signes des temps sont là et on a tendance à oublier que l'Europe a été le théâtre de guerres et d’affrontements et que, si la Suisse a été préservée, c’est, notamment grâce à la fidélité de Dieu envers le serment de nos pères fondateurs, eu égards à la vocation particulière qu’il adresse à notre pays d’être un refuge au milieu de l’Europe. Ajoutons dans la balance la fidélité de tant de Suisses qui gardent la foi et qui prient ainsi que notre préparation militaire.
Les officiers généraux sont inquiets
Mes sources au sein de l’armée me confirment que les officiers généraux sont dans l’inquiétude face au contexte sécuritaire qui se dégrade en Europe, d’autant plus que l’échelon politique – c’est une constante dans l’Histoire – ne réagit pas vraiment. La mission de l’armée est claire : assurer la défense nationale, peu importe l’air du temps, les allégeances idéologiques et les intérêts partisans. En face, chez les politiques ? C’est plus compliqué, les enjeux et les intérêts sont multiples et souvent contradictoires. Je ne vous fais pas un dessin.
Je pense qu’une partie des parlementaires, les plus responsables et clairvoyants, va tout faire pour augmenter notre capacité de défense, actuellement dotée d’un budget d’environ 5 milliards, soit 0,7% de notre PIB et 1% visé d’ici 2030. À titre de comparaison c'est 24,7 milliards uniquement pour l'aide sociale en 2024, soit 5 fois plus que pour notre budget de défense nationale.
Chacun sa crise
Vous avez sans doute vu passer l’information relative à la mise en consultation, il y a un mois, d’un guide sur le « Comportement en cas de crise et de guerre ». Un guide pour la population concocté par la Conférence intercantonale des affaires militaires (CG MPS). Il s’agit d’un guide de cinq pages listant les mesures à prendre en cas de conflit : abri, provisions, radio à piles, etc. Les autorités ne s’en cachent pas : avec ce guide, elles emboîtent le pas aux nations européennes qui craignent une extension du conflit en Ukraine. Il faut saluer la volonté des autorités d’alerter la population et de l’informer.
Dans cette situation, une partie de la classe politique s’est empressée de dénoncer une mesure anxiogène (source de peur pour la population) et qui détournerait l’attention de la « vraie crise », comprenez : énergétique et/ou environnementale. C’est entendu, chaque camp idéologique a « ses » crises, ses priorités, ses œillères, aussi.
Puissent nos autorités trouver leur terrain d’entente. Puissent-elles retrouver la simplicité de nos ancêtres qui, face à l’adversité trop forte, pliaient le genou et se tournaient vers le Dieu Éternel. Puissent-elles croire de nouveau qu’il est un secours qui ne manque pas dans la détresse, sans chercher à tout prix des solutions purement humaines, les yeux dans leur porte-monnaie, les yeux tournés vers l’étranger ou le pire qui soit : vers un sauveur humain.
Notre responsabilité individuelle
Chez Alliance-CH, nous travaillons, comme vous le savez, ces questions depuis fort longtemps. Nous avons tenté de définir cette crise, qui est systémique, touchant à tous les domaines : économique, financier, énergétique, social, environnemental et bien sûr, spirituel. Au-delà d’un diagnostic que n’importe qui peut établir, nous avons proposé des solutions, surtout dans les domaines financier et spirituel, et depuis peu, alimentaire.
Nous vous recommandons à nouveau notre ouvrage paru l’été dernier, Le Blé providence, lequel enseigne comment constituer des réserves de blé, quels appareils ménagers acquérir et comment vous pouvez vous nourrir du matin au soir, en situation de pénurie et même de famine, avec des recettes variées. « En cuisine avec Beat » : visionnez le clip de présentation de cet ouvrage avec les interviews des auteurs.
https://www.youtube.com/watch?v=SABJOxdqDck
Faire face à une telle crise qui ne fait que commencer, nécessite du courage, de la lucidité, aucune panique (qui n’accomplit rien), mais plutôt un retour à nos fondamentaux, spirituels et communautaires et une préparation structurée : mettre ses biens à l’abri (placés dans des valeurs immuables – nous pouvons vous aider !) en sortant ses acquis des banques et du système financier du monde (attention au fracas que produira son effondrement et aux retombées qui envelopperont tout ; nous sommes dans les arrêts de jeu !), en faisant des réserves de nourriture et en réacquérant des savoirs et compétences qu’avaient nos grands-mères, enfin en nouant des partenariats fonctionnels dans notre entourage (nous aborderons ce point dans le prochain blog).
C’est alors seulement que nous pourrons dire : « Nous sommes sans crainte quand la terre est bouleversée, et que les montagnes chancellent au cœur des mers » (Psaume 46,2). La foi seule ne suffit pas, ici ; il lui faut des bras et des jambes.
Mettre à profit l’été à venir
L’été approche, avec lui un temps de vacances, de détente et de loisirs en compagnie de vos amis et familles. Le repos est biblique, nécessaire et bienfaisant ! En même temps, les circonstances nous obligent à rester vigilants, tellement tout s’accélère ! Ces vacances pourraient être l’occasion de vous concentrer sur les changements que vous souhaitez apporter dans votre vie, afin de revenir mieux préparé à la rentrée. Et si vous profitiez d’emporter l’un ou l’autre de nos ouvrages avec vous en vacances ?
https://www.alliance-ch.ch/[...]/boutique.html
Au nom du conseil d’administration d’Alliance-CH nous vous souhaitons un été radieux sous Sa protection & bénédiction,
Chacun, croyant ou non, trouvera dans cet effondrement annoncé et ses détails un enseignement, un avertissement, une parabole. Car à Blatten comme ailleurs, c’est la suite, c’est la question « et après ? » qui donne à méditer. Et à redouter.
Nous sommes à l’abri, non ?
Que va changer l’effondrement de cette montagne à la marche de notre société ? Passée l’émotion partagée dans tout le pays, les « We are Blatten », les dons à la Chaîne du Bonheur et autres appels à contrer le réchauffement climatique et à aller décrocher la lune ? D’ici peu, Blatten sera oublié parce qu’une nouvelle en chasse l’autre. Nous espérons un réveil des consciences, mais nous sommes aussi réalistes par rapport aux mentalités contemporaines.
Le plus grand danger pour les Suisses est peut-être de croire que rien n'arrivera jamais chez nous ; en ce sens, l’effondrement de la montagne peut aussi être vu comme une chance. Car il n’y a rien de pire que le malheur qui vous tombe dessus sans prévenir ! Ce qui était jugé inébranlable, immuable ne l’est pas. Ou plus. Et les Suisses ont toujours su faire preuve de solidarité dans les moments critiques.
L'Histoire nous rattrape, les signes des temps sont là et on a tendance à oublier que l'Europe a été le théâtre de guerres et d’affrontements et que, si la Suisse a été préservée, c’est, notamment grâce à la fidélité de Dieu envers le serment de nos pères fondateurs, eu égards à la vocation particulière qu’il adresse à notre pays d’être un refuge au milieu de l’Europe. Ajoutons dans la balance la fidélité de tant de Suisses qui gardent la foi et qui prient ainsi que notre préparation militaire.
Les officiers généraux sont inquiets
Mes sources au sein de l’armée me confirment que les officiers généraux sont dans l’inquiétude face au contexte sécuritaire qui se dégrade en Europe, d’autant plus que l’échelon politique – c’est une constante dans l’Histoire – ne réagit pas vraiment. La mission de l’armée est claire : assurer la défense nationale, peu importe l’air du temps, les allégeances idéologiques et les intérêts partisans. En face, chez les politiques ? C’est plus compliqué, les enjeux et les intérêts sont multiples et souvent contradictoires. Je ne vous fais pas un dessin.
Je pense qu’une partie des parlementaires, les plus responsables et clairvoyants, va tout faire pour augmenter notre capacité de défense, actuellement dotée d’un budget d’environ 5 milliards, soit 0,7% de notre PIB et 1% visé d’ici 2030. À titre de comparaison c'est 24,7 milliards uniquement pour l'aide sociale en 2024, soit 5 fois plus que pour notre budget de défense nationale.
Chacun sa crise
Vous avez sans doute vu passer l’information relative à la mise en consultation, il y a un mois, d’un guide sur le « Comportement en cas de crise et de guerre ». Un guide pour la population concocté par la Conférence intercantonale des affaires militaires (CG MPS). Il s’agit d’un guide de cinq pages listant les mesures à prendre en cas de conflit : abri, provisions, radio à piles, etc. Les autorités ne s’en cachent pas : avec ce guide, elles emboîtent le pas aux nations européennes qui craignent une extension du conflit en Ukraine. Il faut saluer la volonté des autorités d’alerter la population et de l’informer.
Dans cette situation, une partie de la classe politique s’est empressée de dénoncer une mesure anxiogène (source de peur pour la population) et qui détournerait l’attention de la « vraie crise », comprenez : énergétique et/ou environnementale. C’est entendu, chaque camp idéologique a « ses » crises, ses priorités, ses œillères, aussi.
Puissent nos autorités trouver leur terrain d’entente. Puissent-elles retrouver la simplicité de nos ancêtres qui, face à l’adversité trop forte, pliaient le genou et se tournaient vers le Dieu Éternel. Puissent-elles croire de nouveau qu’il est un secours qui ne manque pas dans la détresse, sans chercher à tout prix des solutions purement humaines, les yeux dans leur porte-monnaie, les yeux tournés vers l’étranger ou le pire qui soit : vers un sauveur humain.
Notre responsabilité individuelle
Chez Alliance-CH, nous travaillons, comme vous le savez, ces questions depuis fort longtemps. Nous avons tenté de définir cette crise, qui est systémique, touchant à tous les domaines : économique, financier, énergétique, social, environnemental et bien sûr, spirituel. Au-delà d’un diagnostic que n’importe qui peut établir, nous avons proposé des solutions, surtout dans les domaines financier et spirituel, et depuis peu, alimentaire.
Nous vous recommandons à nouveau notre ouvrage paru l’été dernier, Le Blé providence, lequel enseigne comment constituer des réserves de blé, quels appareils ménagers acquérir et comment vous pouvez vous nourrir du matin au soir, en situation de pénurie et même de famine, avec des recettes variées. « En cuisine avec Beat » : visionnez le clip de présentation de cet ouvrage avec les interviews des auteurs.
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Faire face à une telle crise qui ne fait que commencer, nécessite du courage, de la lucidité, aucune panique (qui n’accomplit rien), mais plutôt un retour à nos fondamentaux, spirituels et communautaires et une préparation structurée : mettre ses biens à l’abri (placés dans des valeurs immuables – nous pouvons vous aider !) en sortant ses acquis des banques et du système financier du monde (attention au fracas que produira son effondrement et aux retombées qui envelopperont tout ; nous sommes dans les arrêts de jeu !), en faisant des réserves de nourriture et en réacquérant des savoirs et compétences qu’avaient nos grands-mères, enfin en nouant des partenariats fonctionnels dans notre entourage (nous aborderons ce point dans le prochain blog).
C’est alors seulement que nous pourrons dire : « Nous sommes sans crainte quand la terre est bouleversée, et que les montagnes chancellent au cœur des mers » (Psaume 46,2). La foi seule ne suffit pas, ici ; il lui faut des bras et des jambes.
Mettre à profit l’été à venir
L’été approche, avec lui un temps de vacances, de détente et de loisirs en compagnie de vos amis et familles. Le repos est biblique, nécessaire et bienfaisant ! En même temps, les circonstances nous obligent à rester vigilants, tellement tout s’accélère ! Ces vacances pourraient être l’occasion de vous concentrer sur les changements que vous souhaitez apporter dans votre vie, afin de revenir mieux préparé à la rentrée. Et si vous profitiez d’emporter l’un ou l’autre de nos ouvrages avec vous en vacances ?
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